Physiologie
►Centre
Σ et PΣ (S2, S3, S4), centre
pontique et cortex
►Contrôle
volontaire: raisonné (apprentissage de la
propreté) et instinctif
►Contrôle
neurologique réflexe
►(Périodicité
des mictions) : l’automatisme vésicosphinctérien
►Remplissage:
Σ (α et β:
occlusion du col et relâchement vésical - inhibition PΣ
►Miction:
PΣ (contraction détrusor)- inhibition du
Σ
Physiopathologie
►Diminution
de l’inhibition centrale et périphérique
►Émergence
de réflexes vésicaux
►Théorie
de l’instabilité urétrale, apparition secondaire d’un réflexe mictionnel
suivie d’une instabilité vésicale
Etiologies
La pollakiurie
« symptôme » (épine
irritative, hyperreflectivité vésicale)
►Affections
vésicales et urétrales: tumeurs, lithiases, inflammation, cystites
►Affections
régionales: digestive, annexielle, calcul urétéral pelvien, prostatisme
(altération fonctionnelle du muscle vésical)
►Affections
neurologiques/cérébrales: AVC, Parkinson, SEP, traumatisme rachidien
La pollakiurie « maladie
»
►Pollakiuries
et impériosités psychogènes: « corticalisation de la fonction vésicale »
►Sensorielle:
contact eau, froid
►Émotionnelles:
fou rire, orgasme, frayeur …
►Psychogènes:
phobies
►Pollakiurie
« idiopathique »: La plus fréquente |